Dans son « Prélude à une déclaration des devoirs envers l'être humain », Simone Weil posait en 1943 la question du rapport entre l'homme et la machine, et elle en parlait en ces termes : « Il y a une certaine relation avec le temps qui convient aux choses inertes, et une autre qui convient aux créatures pensantes. On a tort de les confondre ».
Soixante-quinze ans plus tard et l'aube d'une révolution industrielle de plus, la question du rapport de l'homme au temps est toujours d'actualité. Simone Weil posait la question du rythme imposé par l'automatisation de la production et de ses incidences sur le rôle de l'homme dans l'entreprise. À l'heure du tout digital et paradoxalement du tout social, la question se pose dans des proportions nouvelles.
Le rapport de l'homme à l'entreprise a profondément changé ces dernières années, c'est un fait. Après avoir questionné le rôle de l'Église puis celui de l'État, il pose aujourd'hui la question de celui de l'entreprise. Disposant plus que jamais de moyens technologiques, l'homme est en quête de repères comme il ne l'a jamais été.
La photographie de l'homme en entreprise est aujourd'hui plus complexe qu'il n'y paraît. Et pour tenter d'approcher au plus près la vérité, il s'agit de confronter cet état de fait global à la situation particulière de chaque entreprise, dans son métier, dans son histoire et sur son territoire. C'est dans ce délicat équilibre entre analyse du climat social local et mise en perspective plus globale que réside la valeur ajoutée de Pragma et de ses équipes.
Aucune organisation ne peut se développer au seul éclairage d'objectifs financiers. Consciente de ses forces humaines et du système dans lequel elle évolue, alors elle se donne les plus grandes chances de réussir, de durer et ainsi de contribuer au bien commun.
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